
Les œuvres d’art et leur valeur vibratoire
Un récent séjour à Venise nous a donné l’occasion de vérifier les valeurs vibratoires de plusieurs œuvres, d’une part au musée de l’Académie et d’autre part au musée Gugenheim. la différence est frappante: l’une des œuvres les plus anciennes, une vierge à l’enfant non signée du 13 éme a le plus haut taux vibratoire que nous ayons jamais relevé (sauf une fois auprès d’un menhir), puis au fur et à mesure que s’écoulaient les siécles le taux vibratoire baissait, pour arriver aux œuvres des années 30/ 50 (un modigliani mis à part) du musée Gugenheim qui vibraient très bas et souvent en dessous de zéro, autrement dit, elles ont des vibrations de mort ce qui n’est pas étonnant compte tenu du contexte de l’époque : deux guerres mondiales.
Nous avions déjà noté le très bon taux vibratoire des icones (tradition de l’Eglise d’Orient) mêmes récentes. Le taux vibratoire semble dépendre de la qualité de relation de l’artiste avec la vie, le divin ou autrement dit sous forme de question : l’œuvre d’art exprime-t’elle quelque chose qui va dans le sens de la vie ou du divin ? En chine, un tableau est beau “si la vie a été redonnée”
D’un point de vue pratique, tout objet ayant ses propres vibrations, il est très important de bien choisir les objets dont on s’entoure, de la moindre babiole à la plus grande œuvre d’art.
Que dire alors de la maison ! par exemple le même matériau mis en œuvre par des personnes différentes n’aura pas la “même vibration” d’où l’importance du choix des artisans et des rapports humains en général.